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à propos

Les cadets de l’Aviation royale du Canada participent à une foule d’activités amusantes et stimulantes. Chacun y trouvera son compte, quels que soient ses goûts personnels.

 

Les amateurs de plein-air apprécieront notamment les cours de survie pour équipage de vol. Les sportifs pourront profiter d’un programme d’éducation physique et de loisirs qui comprend la pratique de différents sports tels le biathlon et le tir de précision de style olympique. Les artistes développeront leurs talents grâce au programme de musique.

Les jeunes seront initiés aux diverses techniques et outils technologiques reliés à l’aviation. Les passionnés de technologie seront mis au défi par l'aéronautique constamment en évolution ainsi que par les avancements toujours plus importants reliés à l’ère spatiale, de même que l’importante contribution du Canada dans ce domaine.

En plus de développer une connaissance des aspects importants de l’histoire de la démocratie canadienne, le développement social est mis de l’avant par l’apprentissage de diverses techniques de leadership qui permettent à tous les cadets de l’Air de prendre une place de plus en plus importante au sein de leur escadron.

Chaque cadet de l’Air aura la chance de participer à des activités de vol, alors que certains des plus mordus de l’aviation pourront même obtenir leur brevet de pilote privé. Que ce soit à titre de pilote de planeurs ou d’avions, ces cadets arborent leurs ailes de pilote avec une fierté qui est rarement égalée pour des jeunes de leur âge.

Histoire

C’est le 13 février 1942 que l’escadrille 96 Les Navarrins, recevait sa Charte de la Ligue des Cadets de l’Air du Canada,  l’autorisant à procéder à la formation d’un corps de Cadets de l’aviation. En mars 1944, le nom des Navarrins est changé en celui des Alouettes et la première école d’entraînement fût l’école Louis-Hébert dans Rosemont.

Les initiateurs de ce grand projet de jeunesse furent des machinistes   oeuvrant au Canadian Pacifique Railway. Notre premier comité protecteur était les Navarrins de Rosemont. Nous ne savons pas grand chose d’eux aujourd’hui, sauf que les premiers présidents furent M. J.A. Côté, M. Paul-André Martin, M. Rodrigue Duval et M. Georges Rancourt. Par contre, depuis la création de l’Escadre 4 en 1945 (union de 3 escadrilles : 49 Vics, 96 Alouettes et 129 Villeray) et jusqu’à aujourd’hui, nous avons pu compter sur le support du Club Rotary de Montréal en tant que comité protecteur.

 

Il est important de noter que le support du Club Rotary au cours des années est dû, pour une large part du travail d’un homme qui fût un leader remarquable pendant 35 ans (1945 à 1980). Il s’agit de M Jean-Marie Lachance. Cet homme, en plus de guider les destinées de la 96 Alouettes, fût élu président du Comité Provincial de la Ligue des Cadets de l’Air du Canada (1956-57). Pour seconder le comité protecteur, un comité de répondant composé de parents de cadets et de membres bénévoles travaillent au sein de l’escadron. 

 

L’escadron changea au moins 8 fois de locaux, mais c’est depuis 1988 que l’École Henri-Julien accepte d’héberger l’escadron dans ses locaux.

 

Quelques faits marquants de ces années d’hier à aujourd’hui. Tout d’abord, la médaille du Lieutenant-Gouverneur du Québec, décernée au meilleur Cadet de la province (G. Breault en 1961, Isidore Popowych en 1963, Jean-Noël Routhier en 1978). Le trophée de l’Officier général Commandant, décerné à l’escadron qui a obtenu le plus haut degré d’efficacité générale dans la province de Québec et l’Est de l’Ontario, en 1967 et 1972. Le trophée Victor Hougton, décerné annuellement au cadet qui a obtenu la meilleure performance à l’entraînement de vol dans le cadre des bourses de pilotage (Pierre Turgeon en 1965 et Jacques Larocque en 1967). Le trophée de marche militaire Walsh, pour la plus haute note lors de la compétition provinciale (1967 et 1972). Le trophée Illsley pour la plus haute note en compétition de musique (tambours et clairons) : 1962, 1963, 1971, 1972, 1973, 1975, 1976 et 1977.

 

D’autre part, la gente féminine débarque à la 96 à partir de septembre 1971, même si la Ligue ne l’accepte officiellement que quelques années plus tard. Le premier Officier féminin (Michèle Bélanger) fit son entrée dans les rangs de l’escadron en 1976. En 1981, le premier commandant féminin fût le Capitaine Louise Lagarde. La gente féminine continue à prendre de l’espace à la 96.

 

Depuis l’escadron 96 Alouettes continue de se démarquer par la qualité de ses actions. Elle deviendra un chef de file et une image à imiter.

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